Du jeudi 16 au samedi 18 novembre.
Colloque organisé par le Centre d’étude de la langue et des littératures françaises de l’université Paris-Sorbonne.
On peut définir le roman comme une chambre d’échos, une caisse de résonnances, qui laisse entendre les différents discours sociaux qui environnent son auteur ; ou plutôt comme un espace de jeu pour l’écrivain qui orchestre la symphonie de ces discours pour s’en jouer ou s’en défier.
Le roman francophone, dès lors, doit-il se comprendre comme ce fameux miroir que le narrateur stendhalien promène le long du chemin ?
Toute la question semble bien résider dans le chemin pour le roman francophone...